Avec un peu de retard, pour cause de plannings professionnel et personnel chargés, voici une petite salve de sujets réalisés par mes soins ce weekend.

Vendredi dernier, j’étais en horaires décalés, pour assister à la rencontre entre le RC Lens et Istres, en Ligue 2. C’était le dernier match à domicile pour les Lensois et donc un soir de fête pour les supporters, même si la saison a été difficile et si le dernier résultat des sang et or était humiliant (7-0 à Guingamp).

Ma première mission était de réaliser un direct depuis le Stade Bollaert, vers 19h. Je suis parti en voiture de Lille à 17h. Hélas, je me suis encore fait avoir par les bouchons et par le GPS. Résultat : au lieu d’1h, j’ai mis 1h45 à rejoindre Lens. Impossible donc d’aller discuter avec les supporteurs pour préparer mon direct. Difficile aussi de le rédiger et de le répéter. Heureusement, j’avais écrit l’essentiel à la rédaction avant de partir, et je l’avais à peu près appris dans la voiture (histoire de ne pas totalement perdre mon temps dans les bouchons). Le résultat est à voir juste en-dessous. Le retard cumulé au stress du direct me donnent tellement d’adrénaline que j’ai un peu (beaucoup) la bougeotte… mais au moins, je n’ai pas trop d’hésitations, donc je suis plutôt content.

 

 

Comme le disait Céline Rousseau, le lendemain, il fallait montrer les buts. Mission montage de sujet, donc, samedi matin. Mon collègue JRI a lui-même filmé la rencontre, nous avions trois interviews en conférence de presse (entraîneur, joueur, président) ainsi que des réactions de supporteurs. Voilà ce que j’ai cuisiné avec tout ça.

 

 

L’après-midi, le travail continue. Avec un peu de fatigue je dois dire, je m’en vais à Bailleul, pour découvrir une nouveauté : le Festival Nord Magnetic. Une étonnante initiative du Conseil général, puisqu’il s’agit d’une centaine de spectacles et animations diverses organisées dans 3 communes du Nord, volontairement pas dans la métropole Lilloise. Je ne sais pas si c’est la fatigue, mais j’ai manqué d’initiative à un moment sur le terrain, en n’osant pas interviewer quelqu’un avec qui ça aurait sans doute pu le faire. J’ai néanmoins eu assez de matière pour réussir mon travail. L’enjeu était de ne pas se perdre dans toute cette matière offerte par le Festival.

 

 

Journée finie. Après une nuit de fête entre amis (eh oui, quand on est jeune, on profite de la vie donc on sort aussi parfois quand on travaille le lendemain), retour à la rédaction dimanche à 9h. Au programme cette fois… la Pentecôte. Sujet plutôt sympa à faire néanmoins, puisqu’il fallait se rendre au « village de la fraternité », autour de la cathédrale de Lille, pour les 100 du diocèse. Ce dimanche après-midi, ce sont les groupes de jeunes catholiques du diocèse qui assuraient l’essentiel des animations. J’ai donc décidé d’en faire l’angle de mon sujet.